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REVUE DE PRESSE

 

 

« Les histories de Paul Halter présentent une surprenante combinaison de mise en atmosphère et d’intrigues brillantes, qui les rendent irrésistibles ».

Janet Hutchings (éditrice d’Ellery Queen Mystere Magazine)  

 

 « Tandis que les histoires de Paul Halter commencent peu à peu à toucher les lecteurs américains, notamment par le biais d’EQMM, je pense qu’ils vont découvrir une combinaison de mystères déroutants et d’atmosphère sinistre, qu’ils n’ont plus retrouvée depuis la glorieuse période de John Dickson Carr. La lecture de ses nouvelles (réunies aujourd’hui dans « The Night of the Wolf »), fut tout simplement une de mes plus grandes joies de l’année ».

Edward Hoch (le plus prolifique auteur américain de nouvelles policières)

 

 

LA QUATRIEME PORTE :

 

Pour une fois, le prix Cognac est amplement mérité, et nous attendons avec impatience les prochaines œuvres de ce débutant au talent de vieux pro.

Michel Lebrun, L’ANNEE DU POLAR 1988.

 

Halter a construit […] un roman très habile et des plus captivants, par son mystère étourdissant qui ne semble explicable que grâce au surnaturel, par ses rebondisse­ments spectaculaires, par son ambiance à l'angoisse croissante, enfin par la touche person­nelle, en la personne du légendaire Harry Hou­dini dont l'esprit semble souffler sur les lieux et les personnes. Dans son genre — le crime impossible — La quatrième porte fait partie de ces romans exem­plaires qui font référence ; il a sa place entre Les quatre vipères de Pierre Véry et La treizième balle de F. Lanteaume.

Jean-Claude Alizet, Encrage, 1987

 

 

LE BROUILLARD ROUGE :

 

Les chambres closes baignent dans Le Brouillard Rouge (Masque) avec lequel Paul Halter renouvelle son exploit de La quatrième Porte et, après le Prix du festival de Cognac 87, vient de remporter brillamment celui du Roman d'Aventures. C'est à croire qu'en 1977, l'esprit de John Dickson Carr expirant s'en est allé habiter ce jeune homme, afin de prolonger ses envoûtements. Ici, c'est pour ainsi dire deux romans dignes de Carr que nous offre Halter […] En sus de quoi, il a imprégné le tout d'une émotion subtile que l'on rencontre rarement chez son illustre modèle.

Maurice Bernard Endrèbe, 813, juillet 1988

 

 

LA MORT VOUS INVITE :

 

Paul Halter s’affirme comme l’une des révélations de cette année. Chacun de ses romans est une petite merveille du genre.

Jean-Paul Guery, LE COURRIER DE L’OUEST, 15.12.1988

 

 

LA TETE DU TIGRE :

 

Tout comme dans les précédents, l’intrigue policière de ce sixième roman est d’une grande richesse. Paul Halter se plaît à épaissir le mystère en superposant les énigmes  […] Le couple Twsit-Hurst fait désormais partie du panthéon des personnages policiers et Paul Halter est passé du rang d’auteur prometteur à celui de maître incontesté du crime impossible.

Jean-Claude Alizet, L’Année de la fiction, 1992.

 

 

LA SEPTIEME HYPOTHESE :

 

Paul Halter représente l'un des meilleurs atouts du Masque et ce septième roman m’a donné l'une de mes plus grandes joies de lecteur de romans policiers. Il y a en effet, dans cette œuvre, des pages dignes d'une anthologie (Le Récit de Peter Moore), dans lesquelles un crime éventuel est démonté, disséqué, relancé sans cesse, par le biais d'un jeu absolument époustouflant. Comme le roman commence par une  folle course-poursuite dans laquelle un cadavre disparaît, puis est retrouvé en dépit de tout logique, alors que des personnages démodés interviennent en donnant à la scène une petit goût d’Hellzapoppin mâtiné de Dracula, le lecteur se demande comment l'auteur va parvenir à rassembler des morceaux aussi disparates pour en faire un tout cohérent. Eh bien, il y parvient, et sans peine ! Il nous prouve que, sur le plan de l'imagination, les romanciers ne sont pas tous égaux, Halter...

Georges Rieben, Hitchcock Magazine, Janvier 1992

 

 

LA LETTRE QUI TUE :

 

La fascination de la Grande-Bretagne […] A l'heure actuelle, celui qui la revendique la plus ouvertement est Paul Halter. Révélé en 1987 avec La quatrième porte, il fait paraître aujourd'hui son huitième livre, La lettre qui tue, une histoire se déroulant à Londres en 1946, quelques mois donc après le Blitz. Ce qu'il y raconte est bondissant, incroyable, inouï, ténébreux, fantastique, sinistre... — autant d'ingrédients qui évoquent John Dickson Carr et qui montrent que la tentation du surnaturel dans le roman policier n'est pas, comme on a tendance à le croire, une exclusivité anglo-saxonne. A une époque où le polar français de pur divertissement se raréfie, pouvoir lire Paul Halter devient presque une aubaine.

Alexandre Lous, Le Magazine littéraire, octobre 1992

 

 

À 139 PAS DE LA MORT :

 

Décidément, Paul Halter fait mentir ceux qui affirmaient que le roman policier avait définitivement épuisé les «problè­mes de chambres closes». Disciple et fervent admirateur de J. Dickson Carr, cet Alsacien fait revivre avec bonheur les ambiances si particulières qui faisaient la saveur des œuvres de Carr. Quant à la qualité des intrigues et la subti­lité du problème posé, on peut se deman­der si le disciple n'est pas en train de dépasser le maître. On commençait à le soupçonner avec «Le diable de Dart­moor» et «Le roi du désordre», mais cela devient plus manifeste encore avec ce der­nier titre. Si vous ne deviez lire qu'un roman policier cette année, il faudrait choisir «A 139 pas de la mort».

Famille Chrétienne, février 1995


 

L’IMAGE TROUBLE :

 

[…] Deuxième auteur, le désormais connu PAUL HALTER avec L'Image Trouble (Le Masque) un jeu virtuose entre le passé et le présent avec deux récits qui s'entrecroisent d'une façon époustouflante grâce à une mystérieuse photo ancienne qui provoque un malaise chez un jeune marié. Jeu constant entre réalité et fiction (il y a un personnage auteur de roman policier !), Halter touche ici du doigt l'art consommé de J. L. BORGES pour lancer les lecteurs dans l'abîme en spirale et sans fin de l'intertextualité.

Michel Amelin, La Tête en Noir

 

 

LA MALEDICTION DE BARBEROUSSE :

 

[…] Bien qu'ad­mirateur inconditionnel de Carr et amoureux sans frein de son art de conteur, je me dois de constater qu'aucun de ses ouvrages les plus réussis – je dis bien : aucun ! – ne contient la grandeur tragique des dernières pages de La Malédiction de Barberousse. Cette oeuvre de jeunesse née sous son signe, plongeant ses racines dans certains souvenirs d'un jeune écri­vain et qui se pare, pour conclure, d'une dimension pathétique et bouleversante à peu près unique dans les annales du roman policier contemporain.

Roland Lacourbe, Les Intégrales de Paul Halter, Les Editions du Masque, 1996

 

 

LE CERCLE INVISIBLE :

 

Paul Halter, en mêlant avec bonheur suspense policier et éléments de légende, a su construire un excellent roman qui fait la part belle à la peur et à l'angoisse. Il distille magie, sorcellerie, faits étranges et troublants et crée, dans ce décor grandiose de la Cornouailles, dans ce soi disant château dUther Pendragon isolé sur une île battue par les vents et par l'océan, un climat de tension et de suspense. […] Les rebondissements et les coups de théâtre sont nombreux, bien amenés, bien orchestrés. Une nouvelle fois, Halter nous démontre son savoir-faire en matière de crime « magique ». Le scénario est magnifiquement ficelé et amène le lecteur à une fin d'histoire très difficilement prévisible. Ce roman offre aux amateurs de meurtre en lieu clos une excellente trame policière et aux fans d'atmosphères angoissantes et fantastiques, un très bon sujet. Je vous recommande de vous plonger dans ce livre sans attendre, mais ATTENTION, vous courrez le risque d'être pris d'un besoin incontrôlable de lire les autres romans de Paul Halter.

Serge Perraud, Magazine du Masque

 

 

LE CRIME DE DEDALE :

 

Paul Halter prouve une nouvelle fois que le ro­man d'énigme est loin d'être un genre exsangue et que ses possibilités sont inépuisables. Encore faut-il s'en donner les moyens et ne pas céder à la facilité en préférant écrire une nouvelle histoire de tueur en série ou de cyber-crime. Pour donner une énigme inédite, Halter puise dans la mythologie antique, dépoussiérant ces « histoires mystérieuses » que sont l'origine du Minotaure, son assassinat ou encore la légende icarienne. L'archéologie et la criminologie apportent des pierres à un édifice d'énigmes superposées sur lesquelles flotte un parfum de surnaturel et de malédiction. Le récit, construit en deux parties, nous transporte des brumes de Londres au soleil éclatant de l'île de Crète, sans que s'installe le moindre temps mort. Un excellent divertissement, avec en prime, comme dans les meilleurs titres de "L'Empreinte", la liste des personnages et le plan du crime de Dédale.

Jean-Claude Alizet, L’Année de la fiction

 

 

LES SEPT MERVEILLES DU CRIME :

 

Attention, chef d'oeuvre ! L'auteur alsacien Paul Halter nous avait déjà enthousiasmé, en matière de chambres closes, avec des romans comme La mort vous invite, Le diable de Dartmoor ou encore Le Cercle invisible  mais jamais il n'avait été aussi loin dans l'accumulation des impossibilités. Plus fort encore que le regretté Pierre Boileau et son célèbre Six crimes sans assassins. Paul Halter a réussi l'inimaginable gageure de concevoir 7 crimes impossibles différents, tous plus incroyables les uns que les autres et montrant bien l'imagination fertile et sans limite de l'auteur talentueux qu'il est. Puis il a eu l'idée géniale d'associer étroitement chacun de ces crimes à l'une des 7 merveilles du monde antique, continuant ainsi de revisiter à sa manière les grands mythes de l'histoire de l'humanité. Le titre du roman est, à cet égard, une véritable perle de génie qui ne peut que donner envie à l'amateur d'énigmes de lire l'ouvrage.

Jean Myard, La Vache qui lit

 

 

MEURTRE DANS UN MANOIR ANGLAIS :

 

Délicieusement rétro cette histoire de Paul Halter, fervent admirateur de John Dickson Carr, est un moment de détente dans une production de plus en plus noire. L'ingéniosité et l'humour présents dans ce petit livre en font une récréation agréable et les historiettes en forme de nouvelles sont liées par l'emprunt des personnages du célèbre jeu de Cluedo. Paul Halter sans faire de remous, sans que son nom soit souvent cité comme aspirant dans les trophées, s'avère comme le maître actuel de ce genre un peu désuet qui garde ses fervents admirateurs, et l'on ne peut que saluer son sens de l'intrigue, son habileté à construire ses énigmes, le tout allié à une solide écriture qui nous change des romans bâclés annoncés comme l'essence de la littérature moderne.

Paul Maugendre, Mauvais Genres

 

 

L’HOMME QUI AIMAIT LES NUAGES :

 

[ …] Paul Halter reste incomparable pour les énigmes en lieu clos. Et celle-ci a un petit air surnaturel qui en rend la lecture attrayante. Il sait mêler réalité et légende, flirter avec l'imagination du lecteur, rendre aux éléments naturels, ici le vent, la part du mystère qui leur revient. Un mélange subtil et poétique qui fait de ses romans un plaisir.

(MC) INTERCDI septembre-octobre 1999

 

 

LES  12 CRIMES D’HERCULE :

 

Il fallait oser marcher sur les greens des auteurs anglais. Paul Halter l'a fait ! Depuis bientôt quinze ans, il brode des intrigues "à l'anglaise" à la limite du fantastique, avec une dextérité qui enthousiasme même les Britanniques. Cet inconditionnel de John Dickson Carr, qui maîtrise à merveille le fog and smog londonien, ose ici une histoire à cheval entre l'Angleterre et la Grèce, sur les traces d'Hercule et de ses douze travaux. Un criminel surnom­mé le taureau de Crète est le pre­mier à attirer l'attention d'Owen Burns. Avec lui, en général, Scotland Yard n'est pas déçu... Nous non plus.

PROFIL FEMME, été 2001